Aujourd’hui sur les ondes de La Première, Yann Arthus-Bertrand, photographe-reporter-écologiste, déclare que les changements nécessaires pour faire face aux problèmes climatiques et environnementaux doivent être initiés par les citoyens. Celui qui voit la Terre du ciel estime que les actions nécessaires ne viendront pas des politiques. On comprend que la frilosité de ces derniers et leur désintérêt au sujet des problèmes climatiques sont inhérents à leur médiocrité*. Yann Arthus-Bertrand constate aussi « qu’on a les politiques que l’on mérite ».
Et bien moi, j’estime qu’au moins la moitié des citoyen.ne.s s sont au-dessus de la moyenne. Beaucoup sont conscients des urgences, désireux de préserver le bien commun et ont la volonté de contribuer sincèrement au changement. Si nous avons les politiques que nous méritons, alors soyons ces politiques. Contribuons selon nos forces à l’accomplissement des tâches de l’Etat et de la société. Cette année d’élections fédérales nous en donne l’occasion. Article6.ch nous rassemble.
*Médiocrité : A. Vox. ou littér. : Etat de ce qui se situe dans la moyenne. B. Etat de celui ou de ce qui se situe en-dessous de la moyenne (définition du TLFi)